théâtre

à partir de 14 ans

durée 1h35

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VERTIGES DE L'ADOLESCENCE

 

C’est l’anniversaire de Lo. Une bougie brûle sur un gâteau mais toute la famille Tardi Muller retient son souffle. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi la bougie ne peut-elle pas s’éteindre ? La scène se rejoue à l’infini et nous entraîne dans le passé toujours à vif... On y découvre deux sœurs en prise avec leur époque et avec leurs émois, leurs premières fois, leurs luttes dans un lycée et dans un monde devenu exsangues. Face à l’incertitude, face à l’irruption d’une violence irréversible, comment entrer dans le monde de demain ? Qu’est-ce qu’être parents ? À quoi rêvent les ados ? Après Parkland, dernière grande tuerie scolaire aux USA, Alexandra Cismondi a commencé à suivre la rescapée Emma Gonzalez, fer de lance d’un mouvement anti gun anti Trump et a eu envie d’écrire sur l’adolescence. Avec un optimiste réaliste et très documenté, l’autrice et metteuse en scène parvient à fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond. Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai la première fois sans toi est un conte déjanté sur un monde en pleine crise d’adolescence.

 

 

Distribution

avec Anne-Elodie Sorlin, Christophe Paou, Lou Chauvain, Alexandra Cismondi texte et mise en scène Alexandra Cismondi scénographie & lumières Camille Duchemin costumes Colombe Lauriot Prevost assistante mise en scène Sylvie Desbois collaboration artistique Anne Naudon stagiaire mise en scène Maeva Rodriguez collaboration dramaturgique Guillaume Mika création sonore Cyril Colombo, Benoît Olive régie lumière Shade Mano, Charles Perichaud

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Texte lauréat de l’aide nationale à la création de texte dramatique Artcena

 

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Mentions

production Cie Vertiges coproduction Chateauvallon Liberte-Scène nationale-Toulon, Carré Sainte Maxime, Théâtre Du Bois De L’aune-Aix-en-Provence, La Passerelle-Scène nationale-Gap, Les Salins-Scène nationale-Martigues soutien La Chartreuse-Villeneuve-les-Avignon, Artcena, SACD, Théâtre National-Nice, Théâtre Des Bernardines- Marseille, ADAMI

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PRESSE

"Un saut dans le vide, un big band bourré d’éclats de rire, et quelques larmes..."

La Strada

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