quatuor
zaïde


Musique
Création
tout public
1h20
Rencontre avec les artistes à l'issue de la représentation
Le Quatuor Zaïde est de retour sur scène après une résidence haut-alpine en relation avec le TDB, le Conservatoire de Briançon et l’Espace Culturel de Chaillol, dans le cadre du dispositif "Carte blanche aux artistes" de la Région SUD. L’équipe du TDB est particulièrement heureuse de ce projet créant une synergie avec deux autres acteurs culturels et artistiques des Hautes-Alpes. Ce temps de création privilégié sur notre territoire, quelque peu à l’écart des tumultes du monde et du temps, aura ouvert un espace-temps de prise de recul, presque d’introspection, pour les musiciennes du Quatuor Zaïde. Ces périodes d’immersion dans le Briançonnais, étalées sur six mois, auront aussi permis de sensibiliser le public au genre du quatuor à corde si singulier dans l’histoire de la musique. En effet, les occasions de rencontres auront été nombreuses : trois master classes au Conservatoire, conclues par un concert avec les élèves, un concert en milieu scolaire et quatre jours de répétitions dans notre théâtre, dont certaines ouvertes au public avec des temps d’échanges. Ce deuxième concert au TDB marque la sortie de résidence du Quatuor, mais ce n’est qu’un au revoir !
Premier violon Charlotte Maclet deuxième violon Leslie Boulin Raulet alto Sarah Chenaf violoncelle Juliette Salmona
Ce concert fait suite à une commande d’œuvre ainsi qu'à une résidence de création dans le département des Hautes- Alpes. Ce projet lie le conservatoire du Briançonnais, l’Espace Culturel de Chaillol, le Théâtre Du Briançonnais, scènes conventionnées art en territoire. financement sollicité dans le cadre du dispositif "carte blanche aux artistes" de la Région Sud PACA et dans la perspective d’une aide de la DRAC PACA au conservatoire du Briançonnais.
PRESSE
"Les Zaïde ne manquent pas de couleurs, au point qu’on a parfois peine à croire que ce sont les mêmes instrumentistes d’un endroit à l’autre ; elles sont aussi à l’aise avec le romantisme débordant des premières mesures (...) qu’avec la gracieuse concision toute Mendelssohnienne d’autres endroits."
Loïc Chahine, Le Babillard



